une virée au Pays Basque
Samedi, il est midi.
On sort du partiel de teoria de la literatura nos sacs de rando sur le dos,
on oublie Artistoteles, Platon, Horacio et tous leurs copains,
on retrouve Marian et Javi (colocs de Guillaume et Katia) dans le hall de la fac qui nous attrapent en vol,
et hop on monte en voiture, et on file vers le nord !
Un week-end au pays Basque avec un originaire de là-bas, c'est chouette. Guillaume, Katia et moi nous nous sommes retrouvés au fin fond de la campagne, dans une cidrerie où les chemins pour y parvenir ne sont même pas homologués, et où le cidre coule à flot dans les verres de purs Basques au béret on ne peut plus indépendantistes. (apparement, si tu leur pique le béret et cours, tu meurs. paraît que c'est violent un pur Basque !). Tu t'assois à une table, prends la première fourchette qui se présente (peu importe à qui tu la prends), et piques dans les plats au milieu, chez le voisin, en face... L'ambiance est joyeuse et conviviale. On frappe sur les tables, on chante fort, on nous apprend nos premiers mots de basque...
Ensuite on a tous filé en car à Hernani, joyeuse ambiance. On s'est retrouvé projeté dans un univers complètement inconnu. Il y avait une atmosphère très sympathique et on était bien au milieu de tous ces Basques. On s'est réveillés dans un hostal, près de la mer dans un village encore plus perdu, en plein coeur du Pays Basque. Il y avait la mer, ces paysages, cette langue complètement inconnue, ces nouvelles rencontres très sympathiques, cette ambiance très particulière...
Ensuite on a tous filé en car à Hernani, joyeuse ambiance. On s'est retrouvé projeté dans un univers complètement inconnu. Il y avait une atmosphère très sympathique et on était bien au milieu de tous ces Basques. On s'est réveillés dans un hostal, près de la mer dans un village encore plus perdu, en plein coeur du Pays Basque. Il y avait la mer, ces paysages, cette langue complètement inconnue, ces nouvelles rencontres très sympathiques, cette ambiance très particulière...
