Dernier mois de vie ERASMUS
[photos en vrac de l'album à gauche "Valladolid"]
Juin...
Voilà l'ultime mois Erasmus qui a pointé son nez. Ceci est un article de "je suis toujours en vie", il sera sans doute suivi de près par un article du genre "Valladolid, merci" ou "J'aurais aimé ne jamais devoir partir d'ici". Oui, le départ approche...
Ici, depuis quelque temps, on découvre la seconde partie du proverbe de Valladolid : "9 mois d'hiver, 3 mois d'enfer" et c'est dans une chaleur étouffante que l'on révise avec joie et bonne humeur (urf) tous ces petits partiels s'éparpillant jusqu'au 29 juin. Ce mois s'annonce intense. Valladolid vit toujours autant. Les bancs dans les rues ne sont maintenant jamais libres avant 2 heures du matin, toutes générations confondues. Le festival international d'art de rue vient de s'achever, c'était chouette. Quant aux Erasmus, le temps nous manque... Il faut penser à trier, jeter, s'organiser pour déménager en 2 voyages en bus... ceci tout en fichant, travaillant, révisant... et en organisant une mission "VISA express" à l'ambassade de Paris entre 2 examens... et le tout en essayant de prendre encore le plus de souvenirs à cette ville et de profiter de ceux qui resteront ici ou de ceux qui se disperseront un peu partout en Europe et ailleurs... et le tout en moins d'un mois!
Ca s'annonce... intense!
Voilà l'ultime mois Erasmus qui a pointé son nez. Ceci est un article de "je suis toujours en vie", il sera sans doute suivi de près par un article du genre "Valladolid, merci" ou "J'aurais aimé ne jamais devoir partir d'ici". Oui, le départ approche...
Ici, depuis quelque temps, on découvre la seconde partie du proverbe de Valladolid : "9 mois d'hiver, 3 mois d'enfer" et c'est dans une chaleur étouffante que l'on révise avec joie et bonne humeur (urf) tous ces petits partiels s'éparpillant jusqu'au 29 juin. Ce mois s'annonce intense. Valladolid vit toujours autant. Les bancs dans les rues ne sont maintenant jamais libres avant 2 heures du matin, toutes générations confondues. Le festival international d'art de rue vient de s'achever, c'était chouette. Quant aux Erasmus, le temps nous manque... Il faut penser à trier, jeter, s'organiser pour déménager en 2 voyages en bus... ceci tout en fichant, travaillant, révisant... et en organisant une mission "VISA express" à l'ambassade de Paris entre 2 examens... et le tout en essayant de prendre encore le plus de souvenirs à cette ville et de profiter de ceux qui resteront ici ou de ceux qui se disperseront un peu partout en Europe et ailleurs... et le tout en moins d'un mois!
Ca s'annonce... intense!