et ça recommence
Après quelque temps en France pour les fêtes, entre amis, famille et blablabla en français, nous voici de retour à Valladolid .
A peine arrivée devant le car Euroline à Nantes j'étais déjà replongée dans l'ambiance ERASMUS et j'ai alors compris que c'était ce truc inexplicable qui m'avait manqué pendant ces 2 semaines. Il me manquait "ça". Les chauffeurs espagnols qui me forcent en 2 secondes à changer le mode "langage" de mon cerveau, une fille inconnue derrière avec un grand sourire qui me souffle un mot qui me manquait et d'autres ERASMUS de Valladolid qui s'approchent là-bas pour mettre leurs sacs étonnés de nous voir. Hop-hop-hop! On part tous dans le bus. Et tout recommence. C'est reparti.
Après avoir traversé la moitié de la France et de l'Espagne sous la neige en 12 heures, attendu 2h30 on ne sait où en Espagne pour ensuite se retrouver dans un bus portugais, on est enfin arrivés à Valladolid, un jour ferié (donc on ne mangera pas aujourd'hui), sous la neige.
J'ai retrouvé mes colocs, ma marchande de légumes très très bavarde, le chinchilla boule-de-poils du salon, ma prof d'histoire du XIXe qui parle beaucoup trop vite, les clémentines à 44 centimes/kg, la cuisine à l'huile, les enfants qui déambulent dans les rues en uniforme, des restes de galette des rois très typique (que de la crème en fait) en pagaille dans notre cuisine, les passages piétons à retardement, la charmante piscine universitaire option "eau glacée", les secrétaires du service des relations internationales très coopératives (grrr), les ERASMUS bâillant tous de leur retour, les Espagnols bâillant tous de leur fête de los Reyes...
J'ai retrouvé tout ça pour un peu plus de 6 mois. Ce ne sera jamais assez...A peine arrivée devant le car Euroline à Nantes j'étais déjà replongée dans l'ambiance ERASMUS et j'ai alors compris que c'était ce truc inexplicable qui m'avait manqué pendant ces 2 semaines. Il me manquait "ça". Les chauffeurs espagnols qui me forcent en 2 secondes à changer le mode "langage" de mon cerveau, une fille inconnue derrière avec un grand sourire qui me souffle un mot qui me manquait et d'autres ERASMUS de Valladolid qui s'approchent là-bas pour mettre leurs sacs étonnés de nous voir. Hop-hop-hop! On part tous dans le bus. Et tout recommence. C'est reparti.
Après avoir traversé la moitié de la France et de l'Espagne sous la neige en 12 heures, attendu 2h30 on ne sait où en Espagne pour ensuite se retrouver dans un bus portugais, on est enfin arrivés à Valladolid, un jour ferié (donc on ne mangera pas aujourd'hui), sous la neige.
J'ai retrouvé mes colocs, ma marchande de légumes très très bavarde, le chinchilla boule-de-poils du salon, ma prof d'histoire du XIXe qui parle beaucoup trop vite, les clémentines à 44 centimes/kg, la cuisine à l'huile, les enfants qui déambulent dans les rues en uniforme, des restes de galette des rois très typique (que de la crème en fait) en pagaille dans notre cuisine, les passages piétons à retardement, la charmante piscine universitaire option "eau glacée", les secrétaires du service des relations internationales très coopératives (grrr), les ERASMUS bâillant tous de leur retour, les Espagnols bâillant tous de leur fête de los Reyes...
A très bientôt pour de nouvelles aventures.